Comment mettre le numérique au service de l’agriculture pour mieux gérer son exploitation, de la production à la commercialisation ?

Dossier | Publié le 20 avril 2023 | Mis à jour le 19 juin 2023

Le numérique modifie en profondeur le quotidien des agriculteurs et des acteurs des filières agricoles à tous les niveaux. Outils de gestion, exploitation des données générées par les capteurs et les robots, places de marché, etc. contribuent à mieux piloter et mieux gérer les exploitations, effectuer les achats auprès des fournisseurs, commercialiser les produits et améliorer les conditions de travail.

Photo illustrative
Jannis Knorr - Pixabay

Le numérique intervient désormais dans la majorité des aspects de la gestion de l’exploitation des agriculteurs. Quand on parle d’agriculture numérique, on pense d’abord à l’utilisation de capteurs permettant de mesurer en réel la situation des cultures ou des animaux, à la robotique ou encore à l’utilisation des données pour améliorer la gestion de l’exploitation. Mais les agriculteurs ont aussi de nombreux besoins similaires aux entreprises des autres secteurs, que ce soit pour réaliser leurs achats, commercialiser leurs produits, ou encore se protéger contre les risques cyber. Qu’ils soient éleveur ou cultivateurs, les outils numériques aident à mener :

  • la gestion de la production ;
  • la gestion de l’exploitation ;
  • la commercialisation des produits ;
  • la gestion des achats ;
  • le partage de connaissances.

Où en sont les professionnels du secteur agricole dans leur numérisation ?

Une équipe de cinq chercheurs de l’école EM Normandie de Caen (Calvados), en partenariat avec la région, vient de publier une étude intitulée « L’agriculture, maillon faible de la digitalisation ? » et portant sur 213 exploitations de moins de 10 salariés souligne le retard global en matière de numérisation du secteur agricole. Une seule exception à ce constat : les outils de gestion ou de pilotage d’une exploitation dont les paysans sont tous dotés. Selon l’étude, l’élevage présente le plus faible taux d’équipement digital, à l’exception des robots de traite.

Les chercheurs expliquent ce retard relatif par l’offre pléthorique. « Entre les outils proposés par les start-up, les équipementiers, les prestataires, les coopératives… l’agriculteur ne sait pas lesquels choisir. » Le résultat est sans appel : une absence de maîtrise des outils qui, par ailleurs, ne communiquent pas entre eux, au point « de complexifier les tâches de son utilisateur alors que la digitalisation était supposée les simplifier ».

Un constat partagé par le Baromètre France Num qui mesure depuis 2020 les progrès réalisés par les entreprises françaises pour se numériser et identifier les freins et leviers pour accélérer leur numérisation. Ainsi, selon le Baromètre France Num, entre 2020 et 2022 la part des entreprises agricoles qui trouvent que le numérique représente un bénéfice réel pour leur entreprise a stagné autour de 70 %. Dans le même temps, elle a progressé de 12 points de 68 % à 80% pour les TPE et PME tous secteurs d’activités confondus.

Et à la question de savoir qui serait le mieux à même de les conseiller dans leur transformation numérique ils sont 41 % contre 31 % à répondre qu’ils n’ont pas de réels projets. De même 31 % contre 24 % n’a aucun budget prévu pour le numérique pour l’an prochain

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Quels sont les bénéfices du numérique pour les agriculteurs ?

Le numérique peut contribuer à soutenir une agriculture à taille humaine, offrant de meilleures conditions de travail, plus respectueuse de l’environnement, mieux intégrée dans son territoire, mieux gérée et donc plus rentable.

Pour Karine Daniel, économiste spécialisée dans les questions liées à l’agriculture, interviewée par l’Action agricole Picarde, le numérique doit en priorité contribuer à la diminution des coûts de production, à limiter l’impact environnemental, à optimiser l’organisation du travail, et la traçabilité dans les filières.

Pour elle le numérique et la robotique contribuent à modifier et à alléger les contraintes de travail. C’est le cas, par exemple, avec les robots de traite et la vidéosurveillance d’élevage qui permettent aux éleveurs de lever de fortes contraintes d’astreinte.

Les outils numériques participent également à diminuer les coûts de production et l’empreinte écologique de l’activité agricole. L’usage des GPS, en aidant à diminuer l’utilisation d’intrants, permet des économies à l’agriculteur et limite son impact sur l’environnement.

La gestion administrative et financière de l’exploitation est facilitée par le numérique. La numérisation des exploitations agricoles c’est aussi l’intégration de solutions de gestion, de commercialisation ou de partage des connaissances. Une exploitation agricole est aussi une entreprise. A ce titre elle doit faire face aux mêmes problématiques que les sociétés des autres secteurs activités : gérer ses ressources humaines, être visible en ligne, développer ses ventes, piloter son activité, se prémunir contre les risques, etc.

Le numérique est aussi un allié de poids pour la commercialisation, notamment en circuit-court. Il modifie les chaines de valeur et peut contribuer à l’amélioration des revenus tirés de l’exploitation.

La mise en œuvre de services web ouvre aussi des opportunités pour s’approvisionner notamment en développant une relation directe avec les fournisseurs .

Le métier d’agriculteur qui souffre souvent d’isolement, bénéficie aussi de l’apport du numérique pour se connecter avec les autres acteurs. Ainsi, les forums et les réseaux sociaux favorisent la constitution de communautés d’échange d’informations et de bonnes pratiques et contribuent à améliorer la transparence vis-à-vis des consommateurs.

Néanmoins, pour que le numérique tienne ses promesses, les agriculteurs doivent être vigilant dans leurs choix. Bien sûr, les investissements consentis doivent offrir des gains substantiels pour couvrir les dépenses. Et les outils doivent être adaptés au niveau de maîtrise du numérique des professionnels qui doivent bien sûr se former. Enfin, la question de l’intégration des outils est centrale. Ceux-ci doivent faciliter les échanges de données entre eux de façon à exploiter les synergies offertes par les solutions.

S'informer et échanger avec d'autres professionnels avec Farmr

Le réseau social Farmr, soutenu par BpiFrance, vise à connecter les agriculteurs entre eux et à favoriser leurs échanges professionnels.

Le numérique offre des ressources formidables pour trouver des informations sur des problématiques variées : techniques culturales, gestion des élevages, problèmes de ravageurs, irrigation, réglementations agricoles, etc. Les articles, bases de connaissances et forums sont nombreux et riches. Pour vous aider à y accéder Farmr propose Agri-Bot, un assistant virtuel, basé sur ChatGPT. Testez-le !

En savoir plus :

Farmr, le réseau social qui rapproche les agriculteurs

Le numérique au service de la gestion de la production

De nombreuses solutions sont aujourd’hui proposées aux agriculteurs pour suivre l’état des sols, des plantes, le comportement des animaux ou leur rythme cardiaque, la météorologie (température, humidité, pression atmosphérique, vitesse du vent, etc.).

Les robots agricoles sont utilisés dans un nombre de domaines croissants que ce soit dans l'élevage (traite, alimentation des animaux, nettoyage des bâtiments) ou dans la culture (semis, désherbage, récolte, etc.).

Les données issues des robots agricoles et des objets connectés (caméras, stations météo, colliers, etc.), les images de télédétection fournies par les satellites ou par des drones survolant les parcelles, sont autant d’éléments qui aident à la prise de décision.

Certaines startups, proposent des solutions révolutionnaires pour gérer la ferme. C’est par exemple le cas de Weenat qui équipe plus de 20 000 agriculteurs français. L’entreprise propose, dans un contexte de tension sur l’accès à l’eau, d’aider les producteurs à éviter de gaspiller cette précieuse ressource. Des capteurs installés dans les champs permettent aux exploitants d’avoir une vision très précise de la teneur en eau de leurs parcelles et de leurs sols pour prendre les meilleures décisions sur le recours à l’irrigation ou le moment de réaliser les semis. L’application permet aussi, parcelle par parcelle, d’être alerté en cas de risque de gel ou de risque sanitaire pour adapter les traitements phytosanitaires des plantes.

L’importance croissante des données agricoles

L’agriculture utilise de plus en plus les données au quotidien pour améliorer la gestion de l’exploitation, l’utilisation des ressources et la transparence : utilisation de l'imagerie drone ou satellite pour piloter les intrants, conseil à l'adoption et à l'appropriation des solutions numériques, exploitation et valorisation des données collectées sur l'exploitation...

Les données agricoles, produites par les équipements (capteurs, GPS) et solutions utilisées par les exploitants ou leurs partenaires, prennent une importance croissante dans la gestion de l’activité, notamment pour développer une agriculture de précision qui doit permettre de répondre aux enjeux économiques et environnementaux.

En complément de ces informations provenant des équipements agricoles s’ajoutent les données issues de la télédétection (drones et satellites). Les images satellitaires à haute résolution des sols, ont trouvé de multiples applications, en particulier en matière d’aide à la décision pour les agriculteurs. Ainsi, ce sont 1 000 000 d’hectares de culture qui sont observés par satellite pour économiser des engrais chimiques, notamment dans le cadre du projet Farmstart.

Exploiter les données tout en garantissant leur propriété et leur confidentialité

Parce qu’elles assurent à celui qui les détient un avantage économique décisif, la propriété, l’hébergement et l’accès aux données font l’objet d’une concurrence croissante entre les acteurs en présence : agriculteurs, semenciers, équipementiers, services d’accompagnement (conseillers, assureurs, etc.), industriels de l’agroalimentaire, etc.

C'est notamment pour répondre à cette problématique qu'a été créée la plateforme Agdatahub. Déjà utilisé par 380 000 exploitations agricoles françaises dont 80% de TPE et PME, Agdatahub, acteur de référence de la circulation des données agricoles en France et en Europe, permet d’optimiser les productions agricoles mais aussi de partager et de protéger les données agricoles.

Les Chambres d'agriculture soutiennent les exploitants qui veulent mettre en place ces nouvelles pratiques, notamment via la solution numérique MesParcelles. Cet outil de gestion parcellaire, utilisé par plus de 40 000 exploitations, permet aussi de suivre les indicateurs environnementaux, de piloter la performance économique et d’anticiper la déclaration PAC.

D’autres initiatives promeuvent le partage de données agricoles (environnementales, de production, techniques, géo-localisées, données de référence, statistiques, algorithmes d’aide à la décision, résultats de modèles et d’essais, etc) entre les professionnels pour favoriser la gestion et la prise de décision.

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Le numérique au service de la gestion de l’exploitation

Le numérique facilite la gestion de l'entreprise au quotidien, notamment pour :

  • dématérialiser la gestion du papier avec un coffre-fort électronique pour sauvegarder ses documents administratifs ou opérationnels, et y accéder en mobilité depuis un smartphone ou une tablette ;
  • utiliser une solution de gestion comptable et financière pour gérer l’envoi des factures clients et automatiser les éventuelles relances, automatiser le traitement des factures fournisseurs, numériser ses notes de frais ;
  • effectuer ses déclarations et démarches auprès de l'administration ;
  • mieux gérer la paie des salariés en digitalisant les bulletins de paie.

Consultez nos rubrique :

Le numérique au service de la commercialisation des produits

Les chiffres du Baromètre France Num 2022 montrent que les professionnels de l'agriculture ne sont que 39 % à être équipés en site internet contre 68 % pour l’ensemble des secteurs car cela leur parait peu pertinent pour leur activité.

Pragmatiques, ils sont plus dans la moyenne en ce qui concerne la vente en ligne que ce soit :

  • sur leur propre site : 14 % contre 19 % pour l’ensemble des secteurs ;
  • via une place de marché : 4 % contre 8 % ;
  • sur les réseaux sociaux : 7 % contre 6 % ;

11 % ont mis en place une solution de click and collect (équivalent aux chiffres des autres secteurs).

En 2022 ils sont néanmoins 69 % à penser que vendre sur internet n’est pas pertinent pour leur métier contre 73 % pour tous les secteurs d’activité. Pourtant, si la part des clients provenant d’internet est globalement moins importante pour ce secteur, certains chiffres sont analogues : près d’1 agriculteur sur 5 déclare qu’internet représente entre 5 et 20 % de sa clientèle.

Consultez notre rubrique :

Créer un site internet pour gagner en visibilité et vendre ses produits

Être visible en ligne est devenu indispensable. Il faut a minima disposer d’une « carte de visite » numérique sur le Web, via une fiche de référencement.

Créer un site web peut s'avérer aussi très utile pour valoriser son travail et ses produits ou pour commercialiser ses sa production en circuit-court.

Consultez nos rubrique dédiées :

Commercialiser ses produits via une plateforme spécialisée

Les agriculteurs peuvent utiliser les plateformes numériques pour commercialiser leurs produits directement aux consommateurs ou aux acheteurs professionnels, ce qui peut leur permettre d'augmenter leurs bénéfices et de réduire leur dépendance vis-à-vis des intermédiaires. Selon le Baromètre France Num, 4 % des agriculteurs étaient présents en 2022  sur une place de marché.

Les plateformes de vente sont variées, en termes de statut (associatif, entrepreneurial...), de fonctionnement (en réseau, basé sur des logiciels clés en main...), de clientèles (particuliers, restaurateurs, collectivités...) et d’échelles d’approvisionnement (du local à l’international). Ces organisations ont le potentiel, en facilitant la logistique et l’échange d’informations, de révolutionner l’organisation des filières.

Chaque plateforme offre différentes possibilités en termes de rapprochement entre producteurs et consommateurs, de gestion des transactions et d’équilibre de pouvoir. Les producteurs doivent alors choisir avec précaution les plateformes qu’ils utilisent selon leurs objectifs.

Pour vous aider à identifier la plateforme la plus adaptée, le RMT Alimentation Locale, un réseau financé par le Ministère de l’agriculture et de l’alimentation et affilié à l’ACTA met à disposition un outil d’aide à la décision

Pour savoir quelle plateforme en ligne choisir pour commercialiser ses produits alimentaires :

Outil d'aide à la décision

En savoir plus :

Découvrez des témoignages de professionnels de l'agriculture qui développent leur ventes avec le numérique

Utiliser les données pour améliorer la transparence et la traçabilité

Les données issues de l’exploitation, retravaillées, participent aussi à informer le consommateur qui peut accéder aux caractéristiques du produit. Cet effort de transparence, très attendu par les clients peut aussi intéresser les professionnels de l’agro-alimentaire, qui sont eux aussi soumis à des obligations croissantes de traçabilité.

Le numérique au service de la visibilité en ligne

Selon les chiffres du Baromètre France Num 2022 seuls 45 % des agriculteurs possèdent un compte de réseau social pour leur entreprise, contre 60 % tous secteurs confondus, car cela leur parait peu pertinent pour leur activité. 

Pourtant, grâce aux médias sociaux, l’agriculteur peut partager sa passion, rassurer le consommateur et redorer l’image d’une profession qui subit des attaques de toutes parts en raison de nombreux scandales qui s’invitent dans le débat public.

Les réseaux sociaux permettent aussi réduire l’isolement des agriculteurs en créant du lien entre les professionnels du secteur. Ils constituent une mine d’informations et facilitent le partage de connaissances ou d’idées et favorisent les discussions sur les problèmes rencontrés par les différents acteurs du secteur.

Découvrez les conseils de la mutuelle Mutualia pour mieux utiliser les réseaux sociaux :

Pour en savoir plus consultez notre rubrique dédiée :

Le numérique au service de la gestion des achats

La relation qu’entretiennent les agriculteurs avec leurs fournisseurs a beaucoup évolué avec internet. Ils ont tendance à privilégier les plateformes en ligne qui se sont créées depuis une dizaine d’années plutôt que les magasins spécialisés et les concessionnaires dont les prix et l’offre correspondent moins à leurs attentes.

Ces portails professionnels spécialisés dans l’agriculture, souvent créés par des start-up, proposent des catalogues de plusieurs centaines de milliers d’agroéquipements de petite et moyenne taille, à des prix très attractifs (du fait de leurs relations étroites avec les fournisseurs). Ils offrent aussi généralement la possibilité de livrer les produits directement sur l’exploitation.

Surtout, ces sites facilitent la comparaison des prix et des caractéristiques des produits. Et la richesse de l’offre favorise la découverte de nouveaux équipements ou de nouvelles technologies qui offrent des gains de productivité ou facilitent leur quotidien.

Certains de ces nouveaux acteurs, comme E-Farm, se positionnent aussi sur le marché de l’équipement agricole de seconde main.

En savoir plus :

Comment démarrer ou accélérer la numérisation de son exploitation ?

Qui sont les (nombreux) acteurs qui accompagnent les agriculteurs dans leur numérisation ?

De nombreux acteurs sont aujourd’hui positionnés sur le secteur de la numérisation de l’agriculture.

Les équipementiers renouvellent leurs offres et construisent des équipements embarquant capteurs, GPS, consoles, systèmes automatisés, etc dont les données doivent aider l’agriculteur à piloter son activité et les fabricants à améliorer leurs matériels et proposer des services complémentaires.

Les semenciers mettent à disposition des outils numériques des informations sur les sols, les variétés les plus adaptées et les meilleurs façons d’assurer leur développement.

Un grand nombre de start-ups ont aussi émergé, pour répondre à différents besoins identifiés :

  • au niveau du matériel : drones, capteurs, robots, objets connectés ;
  • des logiciels : outils d’aide à la décision, gestion, comptabilité, etc. ;
  • de services web en amont de la production à destination des agriculteurs : places de marché, réseaux sociaux ou plate-formes d’échanges dédiés, etc. ;
  • et en aval à destination des consommateurs : sites de e-commerce pour les circuits courts, applications d’évaluation ou de traçabilité des produits alimentaires, etc.

Les coopératives agricoles, promeuvent aussi souvent leurs solutions auprès de leurs adhérents bien qu’elles se positionnent aussi sur un rôle de conseil pour les aider à choisir parmi l’offre très riche disponible.

Enfin, les Chambres d’agriculture et un certain nombre d’autres structures d’accompagnement conseillent les agriculteurs pour les aider à y voir plus clair dans l’offre pléthorique d’outils numériques et à s’approprier les plus adaptés à leur problématique. Les Chambres d'agricultures sont particulièrement actives sur les problématiques de gestion des données agricole pour que les données produites sur et par l'exploitation agricole demeure la propriété de l'agriculteur et que son traitement et son usage par des entités.

Comment trouver un expert du numérique pour vous accompagner ?

Faites appel à la Chambre d’agriculture près de chez vous

Les Chambres d'agriculture accompagnent les agriculteurs dans la maîtrise et l'utilisation du numérique pour qu'ils puissent tirer le meilleur parti de ces avancées technologiques, tant du point de vue de la gestion de leur exploitation que de la valorisation de leurs productions.

Je contacte ma Chambre d'agriculture

Mobilisez les dispositifs France Num

France Num, l’initiative en faveur de la numérisation des TPE et PME propose à l’ensemble des entreprises françaises un certain nombres de dispositifs pour les aider à démarrer ou accélérer leur transformation à l’aide du numérique : formations gratuites, annuaire des experts du numérique (les Activateurs France Num), aides financières, etc.

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